Champcevinel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Champcevinel
Champcevinel
Le bourg de Champcevinel.
Blason de Champcevinel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Christian Lecomte
2020-2026
Code postal 24750
Code commune 24098
Démographie
Gentilé Champcevinellois
Population
municipale
3 029 hab. (2021 en augmentation de 6,65 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 56″ nord, 0° 43′ 38″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 237 m
Superficie 17,72 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Périgueux
(banlieue)
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Champcevinel
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Champcevinel
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Champcevinel
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Champcevinel
Liens
Site web www.champcevinel.fr

Champcevinel est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune de Champcevinel est située au nord de l'agglomération périgourdine. Son bourg est seulement distant de quatre kilomètres du centre-ville de Périgueux.

Champcevinel constitue la banlieue immédiate de Périgueux, au nord, entre les routes départementales 3 (la route d'Agonac) et 8 (la route de Paris).

Entre Trélissac à l'est et la partie rurale de Périgueux à l'ouest le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le territoire communal sur six kilomètres et demi. À l'est, il fait tronçon commun avec le GR 654 et, au bourg de Champcevinel, ce dernier oblique vers le sud en direction du site universitaire de Périgueux.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Champcevinel et des communes avoisinantes.

Champcevinel est limitrophe de cinq autres communes. À l'ouest, le territoire de Chancelade est distant de moins de 300 mètres.

Communes limitrophes de Champcevinel
Agonac Cornille
Château-l'Évêque Champcevinel Trélissac
Périgueux

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Champcevinel est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Champcevinel.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Vue sur le quartier des Mazades depuis l'hôpital de Périgueux.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 86 m et 237 m[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,72 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,34 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée à l'ouest par un petit cours d'eau, affluent de rive droite de l'Isle, qui constitue un réseau hydrographique de 3,6 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champcevinel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[27] et 65 333 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (31,3 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), cultures permanentes (1,9 %), prairies (0,4 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2004 pour Champcevinel, dont l'ensemble des coteaux est exposé aux risques de mouvements de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux[33],[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention écrite connue du lieu se trouve dans un pouillé du XIIIe siècle sous la forme Chansavinel[35]. On trouve ensuite les graphies Campi Savinelli en 1243, Champsavinel en 1303, Chamsevineau en 1330, Campus Savinelli en 1381, Chantavinel en 1483 et Champsevinel en 1774[35]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Champ le Vinel[36].

Le nom est formé de « champ » qui en occitan signifie « champ, terre » et de « Sabinel » qui est un diminutif de Sabin, lui-même dérivé d'un nom de personne romaine, Sabinus[37]. L'ensemble correspond à la « terre de Sabinel » ou au « domaine de Sabinel ».

En occitan, la commune porte le nom de Champ Savineu[38].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les pierres taillées recueillies sur de nombreux sites de la commune prouvent que des hommes y ont séjourné aux époques paléolithique et néolithique, même si aucune preuve d'une implantation permanente n'a été découverte[39].

Au XIIe siècle, les chanoines de l'église de la Cité possèdent la seigneurie de Champcevinel et les bories qui s'y trouvent (la « borie » qui signifie « maison des bœufs » est une ferme riche). Ces bories sont rachetées au XVIe siècle par de riches bourgeois qui laisseront des châteaux placés sur des sites magnifiques : les plus prestigieux, Borie-Brut et Borie-Petit, sont aménagés en centres de loisirs et d'équitation.

Située près du centre-ville de Périgueux, la commune a connu une explosion démographique dans les années 1980. De nombreux équipements et aménagements ont accompagné cette évolution, maîtrisée dans le cadre d'une opération « greffe de village ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune de Champcevinel a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800. Celui-ci est scindé en trois en 1973 et Champcevinel fait partie du nouveau canton de Périgueux-Nord-Est[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[40]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le 1er janvier 2000, elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[39]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1803 Lagarde    
1803 1817 Montagut    
1817 1818 De Sanzillon    
1818 1819 Guichard    
1819 1820 Bleynie-Linard    
1820 1831 Félix de Cremoux[43]    
1831 1831 Mathieu Dauriac    
1831 1835 Brou-Laurelie Pierre Front    
1835 1841 Louis de Sanzillon    
1841 1872 Félix de Cremoux    
1872 1900 Étienne Durand    
1900 1904 Montagut    
1904 1919 De Chasteigner    
1919 mai 1945 Tanneux    
mai 1945 mars 1977 Simonet    
mars 1977 mars 2001 Pierre Bernardin PCF  
mars 2001
(réélu en mai 2020[44])
En cours Christian Lecomte DVG[45],[46] Conseiller d'orientation, Psychologue

Jumelages[modifier | modifier le code]

Champcevinel : panneau d'entrée en franco-occitan et de jumelage.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Champcevinel relève[48] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 3 029 habitants[Note 5], en augmentation de 6,65 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
816801818681852864766800834
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
836800777781801810760701684
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
684690563594607626668666914
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 1271 3591 6972 2082 3352 4672 4862 7822 880
2021 - - - - - - - -
3 029--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Champcevinel ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

L'emploi des habitants[modifier | modifier le code]

En 2018[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 310 personnes, soit 44,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (114) a augmenté par rapport à 2013 (93) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,7 %.

L'emploi sur la commune[modifier | modifier le code]

Fin 2018, la commune offre 450 emplois pour une population de 2 915 habitants[56]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 41,5 % des emplois devant le secteur tertiaire avec 37,1 %.

Répartition des emplois par domaines d'activité

  Agriculture Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
Nombre d'emplois 5 10 81 167 187
Pourcentage 1,1 % 2,2 % 18,1 % 37,1 % 41,5 %
Source des données[56].

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 196 établissements[57], dont 127 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans la construction, dix dans l'industrie, et sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[58].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « In extenso Dordogne » (activités comptables) située à Champcevinel se classe en 29e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 446 k€[59].

L'entreprise « Périgord bois » a été créée en 1922 à Périgueux avant de s'installer à Champcevinel en 1976 ; rebaptisée « La Maison Périgord », elle emploie 40 personnes en 2021[60].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Marc, construite de 1874 à 1877
  • À côté de l'église, la bibliothèque (ancienne demeure de l'intendant de la seigneurie de Champcevinel) et le centre socioculturel (ancien presbytère) datent tous deux du XVIe siècle,
  • Le manoir de Boisset, XVIe siècle.

Contrairement à ce qui est indiqué dans le Dictionnaire des châteaux du Périgord[61], le château de Barbadeau se trouve sur le territoire de Périgueux et non pas sur celui de Champcevinel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Noël Colombier (1932-2017), auteur-compositeur-interprète né sur la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Champcevinel Blason
D'azur à la foi d'argent, mouvant des flancs et enserrant un châtaignier d'or fruité au naturel de douze pièces ordonnées 1,2,4 et 5.
Détails
Un châtaignier tenu par deux mains serrées qui symbolisent l'amitié. Le châtaignier a contribué à procurer un certain confort aux paysans et à améliorer l'ordinaire lors des périodes difficiles de leur vie. Douze fruits représentant les douze mois de l'année
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Champcevinel » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Champcevinel » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Champcevinel », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Champcevinel », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Champcevinel », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  20. « Orthodromie entre Champcevinel et Coulounieix-Chamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  26. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Unité urbaine 2020 de Périgueux », sur insee.fr (consulté le ).
  28. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. PPR mouvement de terrain - 24DDT20050005 - Champcevinel, DREAL Aquitaine, consulté le 13 avril 2019.
  34. [PDF] Champcevinel - Mouvements différentiels de terrain liés au phénomène de retrait gonflement des sols argileux, DREAL Aquitaine, consulté le 13 avril 2019. Pour bien visualiser la carte, attendre qu'elle se colore intégralement et qu'apparaisse la légende dans un encadré en haut à gauche.
  35. a et b Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champsevinel », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 14 décembre 2018.
  36. « Champ le Vinel » sur Géoportail (consulté le 14 décembre 2018)..
  37. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 94-95.
  38. Le nom occitan des communes du Périgord - Champ Savineu sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  39. a et b Christiane Piboyeu, Champcevinel, le chemin parcouru, Imprimerie moderne, décembre 1992.
  40. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  41. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.
  42. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.
  43. Félix de Cremoux
  44. « Christian Lecomte repart, avec une opposition », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
  45. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 18.
  46. Éliane Rabot, Christian Lecomte a dévoilé sa liste, Sud Ouest, 17 février 2014, consulté le 7 août 2020.
  47. « Comité de jumelage », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 18.
  48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Adrien Larelle, « Une étape inédite et peu vallonnée », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 26.
  53. Éliane Rabot, « Bientôt la fête votive », Sud Ouest édition Périgueux, 13 mai 2017, p. 19.
  54. Chantal Gibert, « 70 auteurs attendus au salon Livre en fête », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
  55. Dossier complet - Commune de Champcevinel (24098) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 11 janvier 2022.
  56. a et b Dossier complet - Commune de Champcevinel (24098) Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 11 janvier 2022.
  57. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  58. Dossier complet - Commune de Champcevinel (24098) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 4 septembre 2018.
  59. « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
  60. Hervé Chassain, « Périgord bois : l'entreprise centenaire se modernise », Sud Ouest édition Dordogne, 28 juillet 2021, p. 19.
  61. Dictionnaire des châteaux du Périgord de Guy Penaud, Éditions Sud Ouest (ISBN 2-879-01221-X), p. 20.